Deux heures du matin, 16 juin 1904. Leopold Bloom, un peu ivre, vient s'écrouler dans le lit conjugal, après une journée de dérive dans Dublin. Ce même jour, dans ce même lit, sa femme Molly l'a trompé. Ne retrouvant pas le sommeil, Molly s'abandonne au flot débordant de ses pensées. S'entremêlent alors confidences et désirs érotiques. Elle songe à sa journée avec son amant Boylan, à son mari, à l'amour, à son corps, à sa beauté...Dernier chapitre de l'immense roman de James Joyce, «Ulysse », «Molly Bloom » met en scène une parole féminine, puissante et libérée. Ce monologue est considéré par plusieurs comme l'une des plus extraordinaires incursions littéraires faites par un homme dans les jardins secrets de la féminité.Le texte, traduit par Jean Marc Dalpé dans la langue forte et colorée qui est la sienne, a été porté au théâtre avec grand succès par la compagnie Sybillines. « Mon désir de faire du théâtre avec le monologue intérieur de Molly Bloom provient d'abord et avant tout du désir de faire entendre cette langue extrêmement imagée, ces mots d'une grande beauté, cet univers souverain. » Brigitte Haentjens
- Truth and Reconciliation in Canada
- MMIWG
- Mental Health
- Canadian Indigenous Voices
- Holiday Reads
- Holiday Cooking and Entertaining
- February Romance 2024
- Canada Reads 2024 longlist
- Black History Month 2024
- Freedom to Read Week 2024
- February - I love to read month
- See all